pages.documents.summary.title "La morte amoureuse"
(Théophile Gautier)
Découvrez l'Enchantement de "La Morte Amoureuse" de Théophile Gautier
Dans le monde fascinant de la littérature romantique, "La Morte Amoureuse" de Théophile Gautier se démarque par son mélange unique de fantastique et de profondeur émotionnelle. Publiée en 1836 dans La Chronique de Paris, cette nouvelle fantastique nous plonge dans une histoire à la première personne, racontée par Romuald, un prêtre qui se retrouve dans une descente aux enfers. Son combat contre la tentation de la chair nous entraîne dans un voyage intérieur où la chair et l'âme se confrontent.
Cette œuvre, qualifiée de « chef d'œuvre » par Baudelaire, nous offre une analyse profonde des thèmes de l'amour, de la mort et de la tentation. Gautier, poète et romancier d'inspiration romantique, nous présente un univers riche en symboles et en allusions à la peinture, soulignant l'importance du regard comme clé de lecture.
En suivant cette analyse, vous découvrirez les personnages clés de Clarimonde et Romuald, ainsi que les axes de lecture qui rendent "La Morte Amoureuse" un classique de la littérature française. Abordez les thèmes du fantastique, de l'allusion à la peinture et de l'importance du regard pour une compréhension approfondie de cette nouvelle. Découvrez pourquoi "La Morte Amoureuse" demeure un chef-d'œuvre de la littérature romantique et continue à captiver les lecteurs avec son éternelle beauté et son mystère.
A propos pages.documents.summary.preview_type
-
Pages
2 -
Format
.pdf -
Style
abordable et grand public -
Rédacteur pages.documents.summary.preview_type
Vanessa Grosjean -
Titre du livre pages.documents.summary.book_related
La morte amoureuse
A propos du livre "La morte amoureuse"
La Morte amoureuse est une nouvelle fantastique parue en 1836 dans La Chronique de Paris. Gautier est un poète et romancier d'inspiration romantique. Dans ce récit à la première personne, Romuald, prêtre nous raconte sa descente aux enfers, et son combat contre la tentation de la chair.
Baudelaire avait à l'époque qualifiée la nouvelle de « chef d'œuvre ».
En 1862, Gautier est élu président de la Société nationale des Beaux-Arts, il est entouré d'un comité composé des peintres les plus prestigieux comme Eugène Delacroix.
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