Mort à crédit : pages.documents.summary.title
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Mort à crédit - pages.documents.summary.title

pages.documents.summary.title "Mort à crédit"
(Louis - Ferdinand Céline)

Découvrez l'Intensité de "Mort à Crédit" de Louis-Ferdinand Céline

"Mort à Crédit", le deuxième roman de Louis-Ferdinand Céline, est un ouvrage qui se distingue par son originalité linguistique et son intensité narrative. Publié en 1936, ce roman est une autobiographie fictive qui suit le personnage de Ferdinand, un alter ego de l'auteur, dans ses difficultés à s'établir comme médecin et à écrire. Le style de Céline, caractérisé par l'utilisation de l'argot et de la langue parlée, crée une atmosphère unique qui reflète la crise morale et existentielle de l'époque.

Dans "Mort à Crédit", Céline déploie une rigueur littéraire toute particulière, transformant les mots en éléments quasi-autonomes qui forment une "petite musique" célinienne. Ce roman est un archétype du renouveau romanesque du début du vingtième siècle, rejoignant les œuvres de Proust et Gide dans son exploration des profondeurs de l'âme humaine.

Cette analyse du livre vous offrira un résumé détaillé de "Mort à Crédit", ainsi qu'une analyse du contexte, du style et des idées centrales de l'œuvre. Découvrez comment Céline réinvente la littérature française avec son langage dépouillé et métamorphosé, et comment ce roman continue à fasciner les lecteurs avec sa profondeur et son originalité.

A propos pages.documents.summary.preview_type
  • Pages
    2
  • Format
    .pdf
  • Style
    abordable et grand public
  • Rédacteur pages.documents.summary.preview_type
    Pierre Lanorde
  • Titre du livre pages.documents.summary.book_related
    Mort à crédit

A propos du livre "Mort à crédit"

Mort à crédit est un roman de Louis-Ferdinand Céline paru en 1936. Mort à crédit demande à son auteur une rigueur toute particulière. Les mots y deviennent de plus en plus nus, dépouillés, métamorphosés en éléments quasi-autonomes, premières réelles esquisses de la \" petite musique \" célinienne dont l’écrivain a besoin pour dire les choses.