Le vieux qui lisait des romans d'amour - Résumé du livre
Résumé du livre "Le vieux qui lisait des romans d'amour"
(Luis Sepúlveda)
Découvrez le Roman Chilien qui Captiva le Monde : "Le Vieux qui Lisait des Romans d'Amour" de Luis Sepúlveda
Dans notre analyse de la forêt amazonienne, un mystère se dévoile. Lorsque les habitants d'El Idilio découvrent le cadavre d'un homme blond assassiné, ils accusent les Indiens Shuars. Mais Antonio José Bolivar, un vieil homme passionné de romans d'amour, déchiffre dans la blessure de l'homme assassiné l'attaque d'un félin. Cette découverte le pousse à une quête pour retrouver la bête responsable, plongeant ainsi dans une aventure qui le mènera à El Dorado et à des souvenirs d'amour oubliés.
Ce roman, traduit en français par François Maspero en 1992, est un mélange de humour et d'émotion. L'histoire de Antonio, qui se remémore son histoire d'amour avec Dolores, est intercalée avec des passages humoristiques, comme l'arrivée du dentiste Rubincondo Loachamin, apportant de nouveaux romans. Le style de Luis Sepúlveda, à la fois familier et émouvant, nous plonge dans le monde des personnages, chacun avec leur propre histoire et leur propre destin.
Lisez notre résumé complet pour découvrir les personnages, les thèmes et le style de ce roman qui a captivé le monde avec plus de 1 250 000 exemplaires vendus en France entre 1992 et 2010.
A propos du résumé
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Pages
2 -
Format
.pdf -
Style
abordable et grand public -
Rédacteur du résumé
Sophie Lecomte -
Titre du livre résumé
Le vieux qui lisait des romans d'amour
A propos du livre "Le vieux qui lisait des romans d'amour"
Traduit de l’espagnol « Un viejo que leía novelas de amor » vers le français, « Le Vieux qui lisait des romans d'amour » est un roman chilien de l’auteur Luis Sepulveda. Publié en 1992, « Le vieux qui lisait des romans d’amour » fut traduit la même année par François Maspero.
« Le Vieux qui lisait des romans d’amour » commence avec la découverte du cadavre d’un homme sur une pirogue en pleine forêt amazonienne. Rapidement, les indiens sont accusés du méfait, mais Antonio José Bolivar reconnait qu’il s’agit du travail d’un félin. Antonio, qui est « le vieux qui lisait des romans d’amour », s’enfonce dans la forêt, décidé à retrouver la bête.