La Bête humaine
Commentaire de texte / Analyse sur La Bête humaine

La Bête humaine : Lantier : la fêlure héréditaire

Commentaire de texte / Analyse de Emile Zola

Commentaire composé sur \"Lantier : Fêlure héréditaire\" de Zola (extrait de La bête humaine). Cette analyse sur la \"Lantier : la fêlure héréditaire\" dans La Bête Humaine de Zola a été rédigée par un professeur de français.

La Bête humaine (1890) est un roman très célèbre d'Emile Zola (1840-1902). Il s'inscrit dans le cycle romanesque constitué par vingt romans, l'ensemble des Rougon-Macquart. Dans le roman qui nous intéresse ici, Zola suit un mécanicien de locomotive, Jacques Lantier, un homme marqué dès son plus jeune âge par des pulsions sexuelles et meurtrières, la fameuse « fêlure héréditaire ».

Naturalisme et volonté d'étude du crime marquent le passage que nous allons étudier. Dans ce texte, Jacques s'interroge sur les pulsions meurtrières qui le déstabilisent. Il finira d'ailleurs par assassiner Séverine, sa maîtresse, car pour lui sexualité et mort sont indissociables. Après avoir manqué de tuer la jeune Flore, Jacques part dans la campagne, où il erre en méditant sur sa famille et sa tare, alors que passe un train « hurlant », symbole de la pulsion de mort qui l'habite... 


Que puis-je trouver dans ce commentaire sur "La Bête humaine : Lantier : la fêlure héréditaire"

  1. Un personnage torturé
    1. Les questionnements de Jacques
    2. Le naturalisme dans le récit
  2. Le déterminisme d'après Zola
    1. La « fêlure héréditaire »
    2. L'aspect tragique du personnage
  3. Conclusion
A propos du commentaire
  • Pages
    4
  • Format
    .pdf
  • Style
    abordable et grand public
  • Rédacteur du commentaire
    Sophie Lecomte
  • Titre du livre commenté
    La Bête humaine : Lantier : la fêlure héréditaire
A propos du livre "La Bête humaine"
La Bête humaine est un roman d'Émile Zola. La Bête Humaine fut publié en 1890 et est le dix-septième volume de la série Les Rougon-Macquart. Dans La bête Humaine, Zola décrit la vie et les déboires de Jacques Lantier, mécanicien sur la ligne Paris-Le Havre.